Le Coronavirus est un révélateur sans filtre de notre société qui a mis en évidence la fragilité de notre système basé sur l’interdépendance. Pandémie mondiale, le Coronavirus touche tous les pays et tout le monde mais de manière différente. Sur le plan personnel, la période de confinement n’a pas été vécue de la même façon par tous. Sur le plan économique, certaines industries ont été frappées plus durement que d’autres. 

Nous sommes aujourd’hui une société fébrile et devons en tirer les leçons pour mieux nous relever. Nous devons panser notre société et repenser nos modes de vie, de travail et de consommation. 2020 marquera nos esprits comme 2001, et 2009.  Mais plus encore, elle sera, espérons-le, l’année du changement et de la prise de conscience du besoin de transformation.  Personne n’échappe aujourd’hui à la nécessaire intégration du changement climatique et de l’impact social dans les pratiques de consommation et les stratégies d’investissement. Pour l’hôtellerie, fragilisée par plusieurs années difficiles (attentats, grèves et gilets jaunes) et particulièrement touchée par cette crise, cette mutation est une question de survie. Attendre le retour à la normale n’est pas une option. 

Dans l’hôtellerie, comme dans tous les secteurs, cette crise est en train d’accélérer les mutations structurelles déjà amorcées avant le Covid. 

        – On parle ici du développement de solutions digitales pour faciliter les échanges avec le client, mieux cibler ses besoins, alléger les contraintes et depuis peu pour proposer des « conditions sanitaires augmentées ».

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        – Portée par les enseignes ou des initiatives individuelles, l’hôtellerie a pris également le virage du développement durable.  Un virage qui s’intensifie progressivement avec une volonté affichée de promouvoir des comportements opérationnels responsables (promotion de la production locale, produits éco labellisés, réduction et recyclage des déchets) et des investissements orientés vers une réduction de la consommation énergétique et de l’empreinte carbone. 

Ces initiatives, nécessaires et incontournables pour répondre aux nouvelles attentes des clients de plus en plus tournés vers une consommation raisonnée ne sont cependant pas suffisantes. Et face à cette crise, les solutions ne seront pas les mêmes pour tous. La demande pour des séjours touristiques autour d’une expérience reprendra rapidement avec des offres de plus en plus sur mesure. Mais quelles perspectives pour la demande de séminaire et voyages d’affaires face au développement du télé travail et au besoin de réduire les coûts de déplacement ? Face à ces multiples questions, les acteurs du secteur restent solidaires et unis. Ils échangent, débattent et les initiatives de groupes de réflexions et de prise de paroles démontrent le besoin d’échanger de se retrouver pour être plus forts et encore plus innovants. Vive l’hospitalité !

 

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